Le gangster new-yorkais Dutch Schultz est abattu en octobre 1935 gravement atteint il est conduit à l’hôpital et placé sous morphine. Agonisant il répondit pendant plusieurs heures aux questions des policiers par une longue suite de phrases chaotiques décousues et désordonnées qui appellent à l’imaginaire et à toutes les interprétations. William Burrougs en a tiré un récit « Les derniers mots de Dutch Schultz » a-t-il vu dans le délire de Schultz une parenté avec ses propres délires opiacés ?